Notre univers visuel des contes est largement formaté par les dessins animés, en particulier ceux de Disney ou des animés japonais qui ont pris la suite d’une tradition d’illustration populaire au 19e siècle (Épinal). Notre imaginaire des contes est ainsi résolument coloré : mais qu’en est-il au juste des contes eux-mêmes ? Y-a-t-il une figurabilité coloriste des contes ?